24 septembre 2006
Abus de pouvoir des journalistes
Il était une fois une blanc bec de journaliste qui bénéficiiait en plus de sa blondeur, d'une gueule d'amour
et d'un certain talent.
Moralité, on lui offrit sur un plateau une émission politique et moralité avec une banalité affligeante elle s'engouffra dans la critique systèmatique de l'invité (de droite)
Cela devient insurportable, la non objectivité devient la monnaie courante des télévisions et radios d'état et bien-entendu de Canal +
Aucunes auto-critiques internes, le dialogue est fermé, les journalistes nous entêtent avec leurs opinions, coupent la parole, se font plaisir et n'ouvrent pas la discussion, ils deviennent des Clones, des produits marketing, un propagantiste, un politiquement correct formaté
Or on pourrait espèrer que le journaliste idéal soit "le Candide" que sa qualité principale soit la curiosité
Christine